Journée internationale des droits des femmes 2022
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Rien ne sert de m'aimer
Anaïs Maranda
Extrait du mini-album «Te revenir» (2021)
Pour écouter ou acheter la musique d'Anaïs:
https://distrokid.com/hyperfollow/anasmaranda/te-revenir
Pour suivre Anaïs:
-Facebook: https://www.facebook.com/anaisxxanais
-Instagram: https://www.instagram.com/anaisxxanais/
Danseurs: Kim Gingras et Christian Harris-Mungo
Réalisation: Anaïs Maranda
Production: Anaïs Maranda
Direction photo: Dylan Sheper
Direction artistique et costume: Anaïs Maranda
Montage: Dylan Sheper
Remerciements: SLA Location, Ben Howden et toute l'équipe.
Paroles et musique: Anaïs Maranda
Gravis les marches qui te mènent à moi
Emporte-tout dans ton va et vient
Choque la blancheur de mes draps
Rien ne sert de m’aimer, il faut partir demain
Brûle ma peau que de tout mon long je craque
Serpente et tapisse-moi de tes mains
Enflamme le jeu et triche mes cartes
Rien ne sert de m’aimer, il faut partir demain
Ton corps, mon corps comme unique maison
On s’envole l’un en l’autre sans fin
Une nuit à répéter ton prénom
Rien ne sert de m’aimer, il faut partir demain
L’éphémère nocturne se fanera
Laissant derrière son parfum de fin
Un furtif moment file entre nos doigts
Rien ne sert de m’aimer, il faut partir demain
Le soleil se lève sur la maladresse
La lumière frappe nos corps éteints
Oublie mon nom, oublie mon adresse
Rien ne sert de m’aimer
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Montage: Dylan Sheper
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Paroles et musique: Anaïs Maranda
Gravis les marches qui te mènent à moi
Emporte-tout dans ton va et vient
Choque la blancheur de mes draps
Rien ne sert de m’aimer, il faut partir demain
Brûle ma peau que de tout mon long je craque
Serpente et tapisse-moi de tes mains
Enflamme le jeu et triche mes cartes
Rien ne sert de m’aimer, il faut partir demain
Ton corps, mon corps comme unique maison
On s’envole l’un en l’autre sans fin
Une nuit à répéter ton prénom
Rien ne sert de m’aimer, il faut partir demain
L’éphémère nocturne se fanera
Laissant derrière son parfum de fin
Un furtif moment file entre nos doigts
Rien ne sert de m’aimer, il faut partir demain
Le soleil se lève sur la maladresse
La lumière frappe nos corps éteints
Oublie mon nom, oublie mon adresse
Rien ne sert de m’aimer
