Extrait de l'album "Haïku"
Réalisation: Diane Tell
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Production - Audio & Vidéo : Tuta Music Inc.
Réalisation : Diane Tell
Coloring/Étalonnage: Ghislain Rio
Tournage en Valais Suisse
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Paroles et Musique : Fred Fortin
Musiciens
Fred Fortin – Basse, Guitares
François Lafontaine – Claviers, Piano
Samuel Joly – Drums, Percussions
Joe Grass – Pedal Steel Guitar
Olivier Langevin – Guitares
Diane Tell – Voix
Arrangement: Fred Fortin
Enregistrements au Studio Planet Montréal
Prises de son et Mixage: Pierre Girard
Mastering Audio: Bob Ludwig au studio Gateway Mastering Studios (Portland Maine)
Éditions: Fort-In-Ch et Les Éditions Moins Le Quart
Production: Tuta Music Inc.
Distribution: IDOL
Paroles (English Lyrics Below)
Dis, tu me sers de cette eau de vie ?
Car tu sais à quel point je n’ai aucun regret
Mais je souffre de cette mélancolie
Ainsi ce n’est pas une tragédie
C’est une douce maladie
Que j’entretiens et qui me berce
Sur fond de nostalgie
Même si je sais que les choses
Ne seront plus jamais comme avant
Mais je t’en supplie mon frère
Nourris mon âme et remplis mon verre
Je suis une bossa de l’Abitibi
Une rivière sortie de son lit
Qui cherche son chemin
Dans les bois du doux paradis
Même si je sais que les choses
Ne seront plus jamais comme avant
Mais je t’en supplie mon frère
Nourris mon âme et remplis mon verre
Ce n’est pas comme si je n’avais jamais bu de ton eau
Je n’ai pas besoin d’un pont pour m’aider à franchir le ruisseau
Et si je m’y noie, qu’on m’y retrouve flottant sur le dos
On pourra dire que j’aime m’la couler douce et m’abandonner au flot
LIFE
Will you pour me some of that water?
You know I have no regrets
Though I suffer from such gloom
It’s no tragedy
But a mild sickness
That has a hold of me
Rooted in nostalgia
Even though I know things
Can never be the same again
I beseech you my friend
Feed my soul and refill my cup
I’m a Bossa Abitibi
An overflowing river
Looking for a tributary
In this woods sweet paradise
Even though I know things
Can never be the same again
I beseech you my friend
Feed my soul and refill my cup
It’s not as though I’ve never drunk from this source
I have no need of a bridge to cross the stream
And should I drown, found floating downstream on my back
You’ll say that I willfully abandoned myself to the flow