Mon nouvel album QUAND LA NUIT TOMBE disponible dès maintenant
À écouter ici : https://lnk.to/Quandlanuittombe
Paroles : Louis-Jean Cormier, Daniel Beaumont, Alan Coté
Musique : Louis-Jean Cormier
Productrice : Geneviève Cabana-Proulx
Directrice de Production : Mélodie Roussin
Recherchiste de lieux : Karl Fodor
Réalisateur, directeur de la photographie : Jonathan Decoste
Réalisateur, directeur artistique : Greg Nowak
1er assistant réalisateur : Sébastien Godron
Assistant directeur artistique : Patrick Binette
1er assistant caméra : Dominic Lapointe
Opérateur ronin : Austin Grass
Pilote drone : Guillaume Richer-Lalonde et Mathieu Séguin
Chef éclairagiste : Nicolas Bouliane
Chef machiniste : Benoît Bureau
Machiniste : Karine Boudreault
Preneur de son, data wrangler : Kim Nguyen
Costumière : Jaclyne Mainville
Assistante costumière : Audrey Tardif
Chef maquilleuse : Dalle Gill
Chef coiffeur : Daniel Jacob
Assistante de production, plateau : Mariane Roy
Assistant de production, camion : François Xavier Habimana
Cantinière : Marion St-Sernin
Chorégraphe : Virginie Brunelle
Danseur.se : Claudine Hébert, Isabelle Arcand, Bradley Eng, Simone Gauthier, Anne-Flore De Rochambeau, Alexandre Carlos, Julien Derradj, Susie Paulson, Peter Trosztmer, Lorena Salinas
Monteur offline : Hubert Hayaud
Post-production : Outpost
Coloriste : Benoît Côté
Paroles :
J’fais le 100 mètres haies
Dans Los Angeles
J’vois ton reflet dans la vitre
De l’espace pour écrire
C’est large comme le ciel
J’me réentends te dire
Que j’connais pas la suite
C’est étrange à quel point
Il faut toujours que j’me rende aussi loin
Pour voir ce que j’ai laissé
Derrière
Je fais tourner tes photos dans une main
Pendant que l’autre se croise les doigts
Moi, mon rêve américain
C’est celui qui me ramène à toi
J’fais le 1000 mètres haies
Par-dessus les voitures
Sans remarquer les klaxons
Même le signal pour piéton
A pitié de mon allure
Qu’est-ce qui m’a pris d’croire que j’partais pour de bon
C’est étrange à quel point
Il faut toujours que j’me rende aussi loin
Pour voir ce que j’ai laissé
Derrière
Je fais tourner tes photos dans une main
Pendant que l’autre se croise les doigts
Moi, mon rêve américain
C’est celui qui me ramène à toi
Je fais le cent kilomètres haies à la vitesse du son
Par-dessus les boulevards, les bars et les moments d’absence
Ça vient d’qui l’idée d’s’éloigner pour mieux voir venir le fond
Encore le fucking va-et-vient des amours à distance
Mes larmes se mélangent à l’eau salée sur mes lèvres
Au rythme des vieux hippies les deux pieds dans l’océan
Je fixe le soleil embrouillé qui s’lève
J’m’imaginais pas que tu me manquerais autant
Pourquoi il faut toujours que j’me rende aussi loin
Pour voir ce que j’ai laissé
Derrière
Et je me croise les doigts
Moi, mon rêve américain
C’est celui qui me ramène à toi
Mon rêve américain
C’est celui qui me ramène à toi
Mon rêve américain
C’est celui qui me ramène à toi.