Écoutez «Tu trembleras encore», extrait de Maude Audet sur l'album «Tu ne mourras pas»: https://smarturl.it/trembleras_encore
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VIDÉO
Réalisation et montage : David Bourbonnais
Direction photo : Natan B. Foisy
Production déléguée : la corp (Jacinthe Robert)
Direction de production : Jacinthe Robert
Assistance-caméra : Hubert Auger
Opération caméra: Philémon Crête
Électro/machino : Saad Abas/Youri Pelletier
Direction artistique de plateau/costumes : Ariane St-Pierre Cyr
Maquilleuse/coiffeuse : Jacinthe Benoit
Colo/online : John Jouma
Chorégraphe de combat: Huy Phong Doan
Avec Catherine Larochelle et Marc Beaupré
MUSIQUE
Voix, guitare électrique, autoharpe : Maude Audet
Guitare classique : Joseph Marchand
Basse, choeur : Émilie Proulx
Batterie, tambourine, shaker, choeur : Charles Blondeau
Orgue, piano, synthé, clavecin, chœur : Mathieu Charbonneau
Flûte traversière : Anna Frances Meyer
PAROLES
Ta robe tombait sur toi
Comme une fleur au vent
Toi tu bougeais sans y penser
Comme font les jolies filles
Qui ne savent pas vraiment
Mesurer toute leur beauté
Tu voulais aimer de fièvre
Tu voulais donner
Ton ventre et partager ton sang
Pour que l’aube se souvienne
De t’illuminer
Te chauffer toujours en dedans
Pour que les jours te grisent
et les nuits te rendent
Plus vive que la lune qui se fait ronde
Tu en trembles et tu en trembleras encore
Maintenant que plus rien ne dort
Il a bu l’eau de tes lèvres
Le sel de tes yeux
Déposé ses mains sur ton front
Il t’a écrit des poèmes
Tu l’as pris au creux
De tes joyaux cachés
Tes offrandes
Tu as gardé vos promesses
Elles sont restées scellées
Comme l’eau durcit le ciment
Mais l’ivresse de l’amour
Arrive à s’épuiser
Comme la rosée
Se sèche au vent
Puisque les jours se suivent
et les nuits se fondent
En rêves qui se figent d’une lune sombre
Tu en trembles et tu en trembleras encore
Maintenant que plus rien ne dort
Tu en trembles et tu en trembleras encore
Maintenant que son amour est mort
Ta jeunesse est repartie
Sans que tu n’aies le temps
De comprendre et te retourner
Comme l’arbre qui attend
Les feuilles d’un printemps
Mais toi tu resteras dépouillée